Inauguration du Temple (ouvert à tous)

Ce soir c'est le grand soir, l'inauguration du temple. Tout le gratin de la ville à reçu une invitation signé d'un F à l'envers enchassé dans un T courbé. La griffe de Titifozi. Il avait même poussé le vice jusqu'à envoyé une invitation personalisée à la patrone de la police locale. Il était le nouveau maître des lieux et comptait bien développer cette activée, quoi de mieu qu'un night-club pour blanchir de l'argent? Tenue "casual" exigait l'invitation, ce qui forcait les videur à refouler avant même que les portes soit ouvertes.
Et le don ne s'en souciait qu'à peine. Il traversait la piste de danse, formée de plaque de pléxiglas d'un mètre sur un sous lesquelles tournait des néons diffusant des lumières chaudes, descendant de son bureau situé dans une mezzanine il se dirigait vers le comptoir de 5 mètres qui occupait la gauche de la salle, à proximité de ces derniers les comodités. il pris appuis de ses deux coudes sur le comptoir. Les néons bleux et à ultraviolets alumaient son costume blanc et faisait resortir son gilet noir. Il pris son verre de vodka red bull dans sa main gauche et, perdu dans ses pensées, regardait les banquettes en cuir rouge disposaient en "U" qu'il avait dessiner lui-même, sans vraiment les voir. Il pensait à la soirée à venir.

¤ Si sa marche se soir se sera déjà un bon début ¤

Il faudra être bien vus pour cette première apparition. Mais ça y est les premiers clients arrivés. le videur lui faisait signe. Dans quelques minutes il faudra serrer des mains, faire des bises et autres préocupations mondaines. Puis viendrait le temps des discutions avec les diverses dealeurs, il détestait la drogue mais les trouvait fort lucratives.

fait les entrer Romano, je les attends.

le D.J. lança la musique electro, les danceuses commencèrent leur numéro et les premiers clients rentrèrent tandis que le mafieu allait à leur rencontre laissant son pauvre verre vide sur le comptoir du bar.

Madame la commissaire, heureux de voir que vous avez répondu à mon invitation.

L'homme tout de blanc vétu s'avançat et lui tendit une main qu'elle voulus serrer séchement mais le mafieu la monta à ses lèvres et lui fit un baise-main. Avant d'annocer d'un calme déconcertant.

Gennaro Titifozi, maître des lieux. Souhaitez vous boire quelque chose? Tout ce que vous prendrez sera gratuit ici, vous êtes une hôte de marque.

Il hésita un peu, profitant de la musique et préparant sa prochaine phrase.

Magnifique médaillon que vous avez là, un bijou de famille peut-être? Ah! j'y pense voulez vous que l'on porte à boire à vos hommes à l'entrée? Ou que l'on les invitent à nous rejoindre? Il ne fait pas très chaud dehors ce soir.

Il chercha en vain un signe de surprise sur le visage de la jeune femme ce qui eu le don de l'iriter un peu même s'il ne le montra pas. Il se décala d'un pas, tendit le bras vers les banquettes de cuir et proposa à la policière d'aller s'y placer pour discuter.

A moins que vous ne préfériez aller dans mon bureau?

DON ERCOLANI consterné se précipita en direction de la discutions que tenait GENNARO :

" Euh... FOZI, viens voir il y a un imbécile vendeur de drogue qui s'est incrusté alors je l'ai mis dans l'arrière salle mais il a fait fuir pas mal de personnes et je peu pas les empêcher de sortir!! on fait quoi la??"
il s'écarta un peu pour que la chef de police n'entende pas et susurra dans l’oreille du patron:

" Je le fume ou on lui fait juste comprendre que ce n'est ni le lieu ni la bonne marchandise, on pourrait le recruter quoique qu'un dealer de drogue le reste toute sa vie, alors??"

Le temps était venu de commencer la fête, la musique s'amplifiait tout juste et, la piste dégagé par les déserteurs, quelques uns se mirent à danser. Deux filles s'amusaient à un collé serré pour faire craquer certains mâles. L'un d'entre eux sortis en courant et fit un demis tour instantané accompagné d'une dizaine de bon fêtards... les bars recommencèrent à se remplir.
La joie se lisait presque sur le visage des dirigeants.

A la fin de la petite danse, ROMANO s'avança en direction des demoiselles et s'exprima d'une voix claire:

"J'ai remarqué votre don inné de donner des sensations aux hommes et de les attirer comme des mouches, mon patron et moi contions installer des genres de cages privées...
cela vous tenterais de faire partie de la boite et de vivre de vos pourboires? qui seront fort puisque vous excellez dans ce domaine. Une compensation sera certainement versée en remerciement, à réfléchir... Bonne soirée."
A peine le DON eu le réflexe de se tourner et partir qu'une main se posa sur son bras telle une plume se mariant avec l'écume de l'eau:

"Nous serions ravies de faire parti de votre enceinte, nous sommes danseuses à nos heures perdues et nous aimons provoquer le désir chez les hommes ..."

comme avec un sous entendu accompagné d'un regard chaud et profond,

"surtout les italiens..."

elles firent demi tour dans un mouvement langoureux et sensuel gardant en vue leur proie qui n'en revenait pas.

Il restait là, à les regarder partir puis tout à coup un idée lumineuse emergea dans son crâne
<> se précipita dans leurs direction et les accompagna pour leur faire visiter les vestiaires mixtes.