Leïla repensait à tout ce qui l'avait fait venir ici. La raison principale, d'après elle c'était son envie, son désir d'être policière, d'avoir un haut grade et d'être utile. Sauver des gens, commander, risquer sa vie, rire. Ce métier était rempli de tant de délice qu'il serait difficile de ne pas vouloir le faire. Mais il fallait avoir les compètences et ça c en'était pas donné à tous le monde... Dans le cas de Leïla il fallait avouer que la jeune fille était assez douée, aussi bien dans ce domaine que de son caractère car après tout les deux allaient un peu ensemble... Chaque matin, à partir de six jusqu'à huit heures, la jeune policière s'appliquer dans des exercices de musculation ou de gymnastique. Ce qui pouvait aisément expliquer sa bonne forme physique. Malgrè tout ses efforts, Leïla tenait également à ne pas ressembler à un sumo ou autre personne de combat. En effet, quelqu'un de non averti aurait pu la prendre pour une simple passante dotée d'une grande beauté. MAis ce n'était pas le cas, malheur à celui qui la sousestimait car elle était capable de donner bien autre chose que des caresses et des baisers. La jeune femme était également courageuse et autoritaire. Elle n'avait peur de rien et dictait à ses sujets des codes et des lois auxquelles ils se devaient d'obéïr... Mais quel policier n'était pas stricte? On ne rigolait pas lorsque des vies étaient en jeu. Elle était néanmoins dotée d'un grand sens de l'humour et d'une sympathie débordante pour les gens qu'elle appréciait, bien qu'au départ elle soit plutôt méfiante. On ne sait jamais qui peut se cacher derrière un visage bien maquillé... Mais Leïla était loin d'être parfaite. En effet, elle avait un très gros défaut : son rève de pouvoir. La jeune femme révait de célébrité, de richesse... et surtout de puissance, qu'un jour on la connaisse dans le monde entier et qu'on l'admire. Certe, elle faisait tout son possible pour calmer cette ardeur mais de temps en temps ce n'était vraiment pas facile... Autre que cela, le policière pouvait avoir un problème de santé. Rien n'était encore prouvé et elle était donc pour l'instant une fille comme tout le monde mais elle avait peur que ça arrive un jour. Sa mère était morte à cause de La Folie, elle s'était suiscidée comme ça sans raison et les médecins avaient dit qu'il était possible que Leïla attrape cette "maladie" génétiquement transmissible...
Elle fut tirée de ses pensées par une femme qui se penchait vers elle. Avant que celle-ci eut parlé, Leïla la reconnu. C'était sa supérieur. Elle avait vu son visage sur le net mais elle était sûre que même sans l'avoir vu elle l'aurait deviné. Tant par sa prestance que par les traits autoritaires qui peignaient son visage.
[h-j : je continue plus tard. Désolé je n'ai pas le temps de finir)